Dans cet article 3 choses :

 

1 – ce que notre société nous cache.

 

2 – le diplôme le plus précieux.

 

3 – un remède pour passer à l’action

 

L’échec est un diplôme : oui, vous avez bien lu!

Dans la francophonie c’est tabou de parler de ses échecs…

C’est mal vu d’en parler…

Vient alors l’hypocrisie qui tendrait à faire croire que les réussites sont comme des autoroutes, larges et faciles.

 

Ou alors, vient la jalousie, car le succès devient louche…

A force de rendre invisibles tous les éléments qui le composent (essais-erreurs, chutes, redémarrages)

Et je dis bien que c’est la francophonie qui est la reine de ce non dit concernant le succès et la réussite.

Le monde anglo-saxon est plus à l’aise avec la réalité, les hauts et les bas naturels du parcours de vie.

 

Mais en fait il suffit de regarder le monde du sport ou de l’art pour se rendre compte qu’il y a un point commun à toutes les réussites.

Je ne vais pas vous servir les vérités entendues et sur-entendues : motivation, ténacité…

 

Bien sûr que toutes les histoires de succès sont tissées de focus, motivation, vision, croyances en soi…

 

Mais ce que notre société nous cache c’est encore plus simple…

C’est ok de se tromper, l’échec est ok… c’est même votre diplôme le plus précieux.

Car toutes les histoires de réussites ont connu un chemin qui a au début, et parfois longtemps ressemblé à des successions d’échec.

 

Regardez le nombre d’échecs de Monsieur Edison avant de créer la lampe à incandescence !

Selon la légende, il a même été jusqu’à utiliser un poil de barbe de son assistant.

 

Et le nombre de fois que Jack Ma s’est vu refuser l’accès à des hauts postes de dirigeant avant qu’il ne crée le site Alibaba

 

Plus loin dans l’histoire (va sur google à l’occasion pour regarder) le chemin qu’a emprunté Abraham Lincoln avant d’accéder à la présidence des USA.

 

En sport, regardez le nombre de finales perdues par une athlète comme Serena Williams. Et pourtant elle est une légende du tennis, avec un palmares immense.

 

Et moi même j’ai échoué tellement de fois avant de réussir.

Mais ce dont le monde se souvient ce sont les succès.

Or toutes les réussites nécessitent de puiser dans ses erreurs, échecs, défaites les leçons et l’énergie pour créer ses succès suivants.

 

Ce secret d’être fier de vos échecs.

Et cela, vous ne l’apprenez pas à l’école,

ni dans les conversations avec votre famille ou vos amis.

 

Pourquoi ?

Parce qu’on nous a privés de cette capacité de faire la paix avec les erreurs.

Et ce dès nos premiers apprentissages à l’école, dans les loisirs etc…

Le fruit de ce tabou à propos des échecs il vient vous saboter à chaque fois où vous voulez sortir de votre zone de confort,

à chaque fois où vous vous apprêtez à prendre la parole.

 

Si vous n’êtes pas ok avec le fait d’apprendre de vos erreurs :

Il y aura toujours en vous un saboteur, qui vious glissera à l’oreille, “et si tu te plantes, que va t’il se passer?….” “es tu sûr que tu vas y arriver?”…

 

Le remède contre cette confusion :

Il vient par le fait de prendre en main vos prises de parole

 

et de muscler 3 choses :

1 – Votre entrainement,

2 – Votre présence vocale

3 – Votre détermination à impacter le monde.

 

Et en prenant chaque pas que vous faites pour construire votre rêve, votre avenir comme une victoire sur vous-même.

Accepter l’échec, pour faire la paix avec cette peur maladive du jugement de l’autre.

Et accepter la réussite, la désirer pour qu’elle devienne un élément de votre avenir.

Pour que votre leadership s’entende et que votre parole inspire les autres (ceux que vous rencontrez et que vous allez rencontrer).

 

A très vite

 

Votre coach en prise de parole

 

Emmanuel

Ps : pour recevoir 6 jours sur 7 ce type de contenus,

>>> c’est par ici https://votre-voix-au-service-de-votre-vie.com/mails-quotidiens/